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L’ADN d’Openhost : l’hébergement cloud sous toutes ses coutures

Nous vous livrons cette dernière infographie qui représente nos solutions de services liées à l’hébergement. Comme vous pourrez le voir, nos équipes techniques vous accompagnent sur vos problématiques informatiques, que ce soit :

Selon vos enjeux et besoins (confidentialité, scalabilité, disponibilité), nous vous orientons vers la solution la plus adaptée. A titre d’exemple, optez pour un hébergement en cloud privé dans nos datacenters est une option légitime si vous avez besoin de personnalisation ou encore d’une totale maîtrise de votre infrastructure.

Si vous souhaitez maximiser votre niveau de confidentialité pour des données très critiques, ou pour des raisons légales, vous devrez alors garder vos données en local. Sachez toutefois qu’il sera alors important de réaliser des sauvegardes régulières de celles-ci.

Quant à l’option de cloud public, nos experts sont formés pour administrer ce type d’infrastructure qui a l’avantage de bénéficier d’une présence mondiale et d’une forte élasticité en cas de pics de trafic.

Au delà de la couche infrastructures (IaaS), nos équipes vous proposent une palette de services managés (audit, tests, configuration, migration, infogérance) dont le but de vous fournir un accompagnement au plus proche de vos besoins IT.

infographie prestations hébergement cloud openhost

Découvrez nos solutions d’hébergement

Le cloud expliqué simplement

Aujourd’hui, pour les entreprises comme pour les particuliers, le cloud est devenu incontournable.  Votre smartphone, votre adresse mail (personnelle et professionnelle), voire même vos objets connectés utilisent cette technologie sans parfois que vous vous en rendiez compte. Pourtant bien utilisée par tout un chacun,  c’est une notion qui reste encore floue. Faisons le point sur cette technologie, ses apports mais également son fonctionnement. Attention, ce contenu est destiné à un public qui souhaite comprendre les fondements de cette technologie.

Qu’est ce que le cloud ?

Commençons par une définition simple et générique :

« Le cloud computing, ou l’informatique en nuage, est l’exploitation de la puissance de calcul ou de stockage de serveurs informatiques distants par l’intermédiaire d’un réseau, généralement l’internet. Ces serveurs sont loués à la demande, le plus souvent par tranche d’utilisation selon des critères techniques (puissance, bande passante, etc.) mais également au forfait. Le cloud computing se caractérise par sa grande souplesse : selon le niveau de compétence de l’utilisateur client, il est possible de gérer soi-même son serveur ou de se contenter d’utiliser des applicatifs distants en mode SaaS. Selon la définition du National Institute of Standards and Technology (NIST), le cloud computing est l’accès via un réseau de télécommunications, à la demande et en libre-service, à des ressources informatiques partagées configurables. Il s’agit donc d’une délocalisation de l’infrastructure informatique. »

Mobilité et accès aux données sont facilités

Plus concrètement, le cloud offre la possibilité d’accéder à son environnement de travail, ses données, mais aussi à ses  logiciels métiers (comptabilité, paie, CRM en ligne…) depuis n’importe quel terminal dès lors que vous bénéficiez d’une connexion Internet. Ordinateurs, tablettes ou smartphones, vous avez votre bureau à portée de main. Vous comprendrez qu’à l’heure de l’ultra-mobilité et du télétravail, ce sont des avantages qui sont non négligeables dans le milieu professionnel. Et les entreprises ne s’y sont d’ailleurs pas trompées puisque 74% des entreprises européennes utiliseraient la technologie du cloud.

Naissance du cloud

Le cloud naît en 1990  avec l’émergence de la virtualisation. Mais ce n’est qu’en 1991 qu’il commence à faire parler de lui : se développant aux côtés d’Internet, il progresse ostensiblement jusqu’à devenir une solution à part entière du monde de l’IT. C’est d’ailleurs à cette époque que le logiciel CERN apparaît et devient le premier logiciel accessible par le Web. le début d’une longue série…

L’avènement des applications en ligne en mode « SaaS »

Vers la fin des années 90, avec l’émergence des Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) et la généralisation d’Internet, le monde voit apparaître des hébergeurs web, entreprises proposant d’abriter dans leurs locaux nombre de données, logiciels et applications métiers que les entreprises ne souhaitent pas héberger dans leurs locaux.

C’est lorsque la vitesse et la fiabilité des connexions s’améliorent qu’un nouveau type d’entreprise apparaît : les fournisseurs d’applications en ligne. Aujourd’hui, les applications en ligne utilisées se sont démocratisées.

Elles sont appelées « logiciels en SaaS »*, signifiant « Software As A Service », autrement dit un logiciel ou une application s’utilisant généralement sur le web et soumis à un paiement sous forme d’un abonnement. Nous pouvons donner l’exemple de Photoshop ou encore votre logiciel de comptabilité accessible en ligne. Vous en disposez à votre guise mais devez payer un abonnement mensuel, comme pourrait l’être un abonnement téléphonique.

Avoir accès à des services en ligne sans supporter en supporter l’hébergement

L’un des principaux avantages du cloud computing pour l’utilisateur est de lui permettre d’accéder à des prestations en ligne, sans avoir à supporter le poids d’une infrastructure. Les données sont considérées comme étant stockées sur un « nuage »  (d’où l’expression « cloud computing »). Ainsi tant au niveau personnel que professionnel, le cloud facilite la vie : d’un côté, vous écouterez un morceau sur Deezer et de l’autre, vous pourrez stocker et sécuriser vos données professionnelles ou encore avoir accès à vos fichiers en mobilité. Pour les entreprises c’est un avantage, au lieu de louer ou acquérir des serveurs physiques, elles louent de l’espace sur des serveurs virtuels.

Fonctionnement du cloud

Mais sur quoi repose cette technologie ? Pour comprendre ce qu’est le cloud dans sa partie plus technique, il faut le segmenter en plusieurs éléments qui le composent.

Cette technologie repose en grande partie sur le socle de la machine virtuelle (appelée « VM » ou encore « Serveur Virtuel Privé ») , mais nécessite tout de même une infrastructure physique. C’est ainsi que naissent les datacenters : des locaux de grande capacité allant jusqu’à représenter la surface d’une dizaine de terrains de foot, composés de serveurs.

C’est là qu’apparaissent les VM et VPS. Souvent perçus comme des termes barbares, les VM et VPS sont similaires mais ne sont pas utilisés par la même cible. Les hébergeurs et professionnels informatiques parleront de VM, signifiant « Virtual machine »; alors que ce seront les clients qui parleront de VPS, qui lui veut dire « Virtual Private Server », terme utilisé lorsqu’ils consomment cette solution.

La flexibilité et l’adaptation à la demande

Plutôt que d’exploiter un service physique dans ses locaux, le cloud permet de virtualiser et de s’adapter aux demandes de son utilisateur. Il est souvent qualifié de flexible et d’adaptable. Le cloud offre une pluralité de possibilités à ses utilisateurs, qui pourront ainsi stocker un nombre volumineux de données en exploitant la puissance de calcul et de stockage de celui-ci.

Le savoir-faire Openhost

Face à une demande grandissante de disponibilité des données, le clustering s’impose comme une réponse adaptée.

En tant qu’expert de l’hébergement cloud, nous vous accompagnons dans vos projets d’amélioration de la disponibilité de vos services. Nos équipes sont là pour vous aider à :

Le clustering une réponse à la haute disponibilité

Afin de fournir une disponibilité optimale de vos services, il est possible d’utiliser le principe de mise en cluster. Il existe 2 approches :

Failover cluster (actif/passif)

Le failover cluster (ou cluster à basculement) permet d’assurer la haute disponibilité d’un service. Il est souvent utilisé avec des technologies comme les serveurs SQL, la virtualisation, etc…

Principe de fonctionnement du failover

Le failover cluster se base sur un principe actif/passif. Vous disposez de différents nœuds (ex : serveurs) assurant tous le même service. Un nœud est élu master, il reçoit et traite les requêtes (transaction SQL, …). Les autres nœuds sont en attente, ils ne répondent pas aux requêtes.
En cas de défaillance du nœud master, le service est basculé sur un nœud passif, qui devient alors un nouveau master, pour continuer à traiter les requêtes.

Cas d’étude : serveur SQL

Prenons l’exemple d’un cluster à basculement SQL. Le service fourni est donc une base de données. Dans un fonctionnement normal (partie de gauche), le serveur en bleu assume le rôle actif du cluster. C’est ce dernier qui répond aux requêtes de l’utilisateur. Le second serveur, en gris, est alors passif.

En cas de problème sur le serveur actif (partie de droite), le serveur anciennement passif détecte le problème et devient à son tour actif. Il prend alors en charge les requêtes de l’utilisateur.

Du côté utilisateur, la panne et le basculement ont été totalement transparent. L’utilisateur continue d’utiliser sa base de données sans avoir besoin de se connecter à un serveur différent.

Avantages/Inconvénients

Le principal inconvénient du failover clustering est le fait qu’il n’y ait qu’un nœud actif à un moment donné et donc aucune répartition de la charge. Il y a donc un gaspillage de ressources.

Cependant, il existe des services qui ne peuvent être rendus hautement disponibles qu’avec du failover clustering. Par exemple, les serveurs SQL utilisent des techniques pour vérifier et assurer la cohérence et l’intégrité des données qui rendent impossible l’utilisation de plusieurs nœuds actifs en même temps.

Load-Balancing

Une autre solution pour assurer la haute disponibilité d’un service ou d’une application serait de répartir la charge sur plusieurs nœuds. En effet, si une défaillance survient sur un nœud sa charge et redistribué sur les nœuds restants. On parle alors de fonctionnement actif/actif.

Principe

Les différents nœuds du cluster fournissent toujours le même service comme dans le cas du failover. Cependant dans ce cas, tous les nœuds peuvent répondre et traiter les requêtes. Plusieurs métriques peuvent être utilisées pour répartir la charge en fonction des besoins de l’applications : l’utilisation CPU, la quantité de RAM, l’adresse IP cliente, …

Le seul prérequis à l’utilisation de cette technologie est la compatibilité avec l’application que vous souhaitez rendre hautement disponible. Par exemple : les serveurs SQL ne supportent pas la répartition de charge, la haute-disponibilité est effectué grâce au failover clustering. Au contraire les services Web (site web, api) sont particulièrement adaptés au mode de fonctionnement du load-balancing.

Cas d’étude : Serveurs Web

Prenons le cas d’un site web. Les utilisateurs se connectent à un site web (ex : site eCommerce, évenementiel, médias, sportifs, live, direct). La charge est répartie sur plusieurs serveurs pour pouvoir encaisser un fort trafic.

On constate que, même en cas de dysfonctionnement d’un serveur, le site web continue de fonctionner normalement. Le serveur non-fonctionnel ne participe plus au cluster et la charge est repartie sur les nœuds restants.

Avantages/Inconvénients

Le load-balancing, tout comme le failover clustering, permet d’assurer la haute-disponibilité d’un service donné. En plus de la haute-disponibilité, vous bénéficiez aussi de la répartition de charge, permettant une meilleure optimisation et rationalisation de vos ressources.

En effet, tous les nœuds travaillent de concert, vous n’avez pas de ressources en attente.

Load-balancing ou Failover clustering ?

Lorsque cela est possible, il est préférable d’utiliser le mode de fonctionnement actif/actif. Vous bénéficiez de la haute-disponibilité ainsi que d’une répartition de charge. Vos ressources sont utilisées de manière optimale. De plus, l’évolutivité de votre solution est plus souple : il vous suffit de rajouter un nouveau nœud au cluster.

Au contraire dans le cas du failover clustering il vous faudrait augmenter les ressources physiques du serveur, une opération contraignante et généralement difficilement réversible.

Cependant, le failover clustering reste une solution adaptée, principalement lorsque le service n’est pas compatible avec le load-balancing (ex : serveurs SQL).

Hébergez votre logiciel EBP via un accès bureau distant

La suite EBP est une suite logicielle performante permettant aux PME et grands comptes, de bénéficier de solutions puissantes en termes de solutions de comptabilité, gestion commerciale et paie.

Openhost vous propose d’héberger vos logiciels EBP et ainsi d’y avoir accès en bureau distant via des serveurs TSE/RDS. Votre logiciel sera dès lors accessible « en ligne » depuis votre entreprise mais également en situation de mobilité.

Le logiciel EBP : Finance, Gestion, CRM, Progiciel de gestion intégré

EBP représente un tout en un pour les PME via :

La solution d’hébergement du logiciel EBP par Openhost

Quels sont les atouts d’un serveur dédié EBP hébergé au sein de notre infrastructure ?

Choisir Openhost pour l’hébergement d’applicatifs métier

C’est la garantie de :

EBP est une marque déposée de EBP Informatique.
Découvrez les offres d’hébergement Sage, Ciel et la page dédiée aux éditeurs de logiciel qui souhaitent trouver un partenaire pour HÉBERGER OU SAASSIFIER LEUR APPLICATIF.

Le cloud, l’informatique en nuage, la virtualisation… D’accord, mais quel avantage trouver à ce nouveau mode d’hébergement ? Pourquoi faire le choix de serveurs virtuels ? Et, pour une entreprise, comment faire le choix entre un serveur dédié ou un serveur virtuel ?

Comment fonctionne un serveur virtuel ?

La virtualisation de serveurs permet de faire fonctionner plusieurs serveurs virtuels (« serveur vps ») sur un serveur physique, via l’installation d’un logiciel de virtualisation (soit VMWare, soit Hyper-V de Microsoft) sur un serveur physique. L’objectif est de mutualiser les capacités de chaque serveur, permettant ainsi une économie de coût et d’investissement en infrastructures.

Quel intérêt à mutualiser les ressources et virtualiser les serveurs ?

Bien souvent, les entreprises n’exploitent que 15 à 20% de leur capacité mais la réserve permet de faire face aux montées en charge (pics d’activité, évènements…). Soit, un investissement et une maintenance lourde pour une exploitation partielle des serveurs. La mutualisation des ressources (l’hébergement sur serveurs mutualisés) permet donc de basculer sur un mode de consommation plus économe puisque partagé, mais également plus flexible car la charge peut se répartir sur différents serveurs virtuels.

Choisir entre un hébergement sur serveur dédié ou serveur mutualisé ?

L’exploitation de serveurs virtuels mutualisés offre des avantages de choix, notamment par l’installation, le déploiement et la migration facilitées de machines virtuelles, notamment dans des cas de mise en production depuis un environnement de pré-production. La mutualisation permet également une économie de coûts (consommation électrique réduite, entretien physique simplifié, surveillance, support renforcé…) tout en garantissant une isolation des différents utilisateurs d’une même machine. En outre, l’allocation dynamique des ressources en fonction des besoins de chaque application à un moment donné garantit la haute disponibilité des services hébergés sur ce type de machine.
Le serveur dédié, quant à lui, peut avoir son avantage pour héberger des sites web à fort trafic car le client est le seul à exploiter les ressources. Toutefois, il faut en payer le prix puisque l’investissement est assez important.

Une autre option est alors possible…

L’hébergement sur un serveur privé virtuel

Pour un stockage cloud sécurisé !

Ce type de serveur se base sur une infrastructure mutualisée (plusieurs compartiments virtualisés), les ressources sont donc partagées mais le serveur virtuel privé possède sa propre allocation de mémoire et fonctionne de manière autonome, ce qui permet plus de sécurité pour les entreprises, quelle que soit leurs tailles et leurs besoins (sites e-commerce, sites évènementiels, applicatifs métier, messagerie, plateforme GED…).

En outre, le VPS est moins coûteux qu’un serveur physique dédié, tout en garantissant un niveau de performance similaire. Et la maintenance du serveur dédié n’est pas à prendre en charge….Si vous envisagez de créer un hébergement sur un cloud privé, votre infrastructure virtuelle aura toutes les fonctionnalités d’un serveur dédié : vous aurez accès à un portail d’administration pour bénéficier d’une sécurité et d’une autonomie totale, l’infrastructure est dédiée et vous maîtrisez vos ressources, comme vos coûts.

Openhost a fait le choix, de par son A.D.N, de proposer des solutions d’hébergement cloud en France. En tant qu’experts en hébergement, et plus spécifiquement sur la partie virtualisation, nous  avons choisi de proposer des offres hébergement cloud basées en France pour nos clients.

Ainsi, si le cloud peut générer encore des appréhensions en interne dans votre entreprise (notamment par peur de violation d’informations confidentielles), nous souhaitions vous expliquer pourquoi il serait plus bénéfique pour vous de vous tourner vers une solution d’hébergement locale de vos données, avec un fournisseur soumis à la loi française.

Vos données sont devenues un de vos biens les plus précieux en tant qu’entreprise (fichiers clients, relations fournisseurs,  données stratégiques…), il est donc capital pour vous de les héberger de manière sécurisée et confidentielle. D’autant plus quand on sait que 54% des entreprises françaises utilisent des solutions SaaS (CloudIndex de PAC – dec. 2014)… Et que ce phénomène pose alors la question d’un hébergement haute disponibilité pour un accès constant à vos données professionnelles.

Un hébergement sur datacenters en France

Dans un hébergement Cloud Public, telle que Microsoft Azure, Google ou AWS par exemple, vos données sont hébergées hors de France et donc soumises à des lois non-européennes (Américaines, Russes, Chinoises…) en fonction de la souveraineté de l’entreprise qui les héberge. Dans d’autres cas malgré le fait que votre prestataire soit un hébergeur français, si ses infrastructures sont basées hors de France alors vos données sortent du sol français. Se pose alors la question du respect par le prestataire des réglementations françaises et de sa soumission à des réglementations spécifiques en contradictions avec les lois françaises.

Par exemple, le PATRIOT ACT aux USA autorise les autorités américaines à accéder aux données des particuliers ou des sociétés sans les en informer et donc sans l’autorisation du propriétaire. De fait une entreprise américaine hébergeant des données dans un datacenter en Europe sera soumise au Patrioct Act, et les données de ses clients européens y seront donc soumises.

Choisir un hébergeur français avec des datacenters en France représente ainsi la garantie que vos données restent sous la tutelle du droit français !

Travailler avec Openhost, un hébergeur cloud français !

C’est la garantie de préserver la confidentialité de vos données professionnelles qui restent sur le sol français.

En tant qu’expert en hébergement cloud, nous pouvons créer des infrastructures répondant aux plus fortes exigences en termes de performance et confidentialité :

Un hébergement dans des datacenters basés en France :